Le 12 octobre 2016, le Conseil d’État, la plus « haute juridiction française » en matière de droit a débouté une organisation « écologiste » et de ce fait a permis au MC de Goult de continuer à organiser des compétitions de moto cross sur son circuit.
De ce fait, l’organisation « écologiste » ne pourra plus s’opposer – juridiquement - à l’organisation de compétitions moto mises en place par le MC de Goult.
Car la gue-guerre dure depuis...quatre ans ! En effet une association d’écologistes « radicaux » : « Lubéron nature » s’était mis en tête de faire interdire l’organisation de compétitions motos, sous prétexte de « protection de la nature ». Cette association fait partie de « France Nature Environnement », ce conglomérat qui veut interdire la course de l’Enduropale depuis plus de 15 ans !
Problème le MC de Goult occupe cet emplacement, dans le Vaucluse depuis ...trente ans ! Au départ, personne ne voulait de cet emplacement qui correspondait à une ancienne décharge.
Mais le MC de Goult aidé de ses bénévoles, a aménagé l’endroit et même planté des arbres !
Oui mais voilà, le village de Goult fait partie du Parc Naturel du Lubéron et n’a pas manqué d’attirer des « bobos » amoureux des vieilles pierres.
Avec l’oreille bienveillante du Préfet de l’époque, un certain nombre de ces « bobos » ont profité du classement du site en zone « Natura 2000 » pour demander l’interdiction des compétitions motos. En fait, ils ne voulaient être dérangés en rien par les crosseux.
lire et (re) lire la déclaration de guerre des écologistes contre les sports mécaniques
Et dès 2005 les premières tracasseries administratives commencent avec des interdictions préfectorales, qui sont aussitôt remises en question par les Tribunaux administratifs.
Mais cela ne suffit pas à « Luberon Nature » qui continue a faire monter les enchères et multiplier les recours en Justice ! Et à chaque fois ils se font envoyer sur les roses !
La suite on l’imagine sans peine, et au 1er avril 2015, le MC de Goult récupère l’homologation du circuit. Jusqu’à la décision du Conseil d’État qui rétablit les droits du MC de Goult sur son circuit.
Car il faut bien relativiser les choses, sur ce circuit ne se dispute qu’une seule épreuve par an ! Le reste n’est qu’entraînement pour 7 week end par an de octobre à mars, pas de quoi fouetter un chat !
Une fois de plus les « ayatollahs verts » qui ne rêvent que d’une chose c.a.d. l’interdiction totale des sports mécaniques, ont été déboutés !
Et nous ne pouvons que nous en réjouir !
